« Je suis seulement un musicien tchèque ordinaire qui partout autour de lui entend de la musique, dans les forêts, dans les champs de blé, dans les torrents, dans les chansons populaires. La nature, le travail, les récits sont les sources de mon inspiration. » Cette confession de Dvořák s’applique particulièrement à sa Sixième Symphonie, si imprégnée des sons de la nature et des danses de sa chère Bohême. Une nature exaltée par les Quatre Saisons de Vivaldi, que Max Richter détricote et recompose dans son univers sonore si hypnotique, à mi-chemin entre la musique minimaliste et l’électronique. Et Fabien Cali nous dit l’angoisse d’en être éloigné dans Anxiopolis, traduction de l’inhumanité des quartiers d’affaires de grandes métropoles.
Au programme :
Fabien Cali Anxiopolis
Max Richter Les Quatre Saisons de Vivaldi recomposées
Antonín Dvořák Symphonie n°6
Tarifs : de 8 à 27 €
Possibilité de manger un bout ensemble après le concert, me faire un message privé